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    38ème Journée le 5 novembre 2022 !
    Les bonnes pratiques en traumatologie du sport

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5 novembre 2022

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38ème Journée le 5 novembre 2022 !

38ème Journée le 5 novembre 2022 !

Cher(e) Collègue,
Le thème du programme est :  « Les bonnes pratiques en traumatologie du sport »
Le livre des communications sera édité à cette occasion.
Nous vous serions reconnaissant, et nous vous en remerciant par avance, de bien vouloir réserver, dès à présent, cette date sur vos agendas 2022 car nous comptons à nouveau sur votre présence pour nous aider à mener à bien l’organisation de cette nouvelle 38ème journée .
Merci à tous de votre compréhension.
Bien cordialement.
J. Rodineau, J-L. Brasseur, J-B. Courroy, V. Vuillemin

Questions Fréquentes

Le lieu demeure le même : au Centre International de Congrès de la Maison de la Chimie situé au 28, Rue Saint-Dominique 75007 PARIS FRANCE.
NON ! Les seuls qui ne règlent pas leurs inscriptions sont les orateurs, que nous remercions pour leurs bénévoles interventions de qualité.
Vous pouvez vous inscrire en utilisant le formulaire en bas de cette page internet tout en spécifiant le mode de règlement souhaité. Si vous souhaitez régler par virement, vous recevrez immédiatement un RIB, si vous souhaitez régler par chèque, vous recevrez immédiatement l'adresse d'expédition.
Inscrivez moi en remplissant l'Inscription en bas de ce site en précisant le mode de règlement "Sur Place". Vous pourrez régler sur place soit en chèque soit en espèces.
Veuillez télécharger le coupon réponse ci dessous et nous faire parvenir votre chèque à l'ordre d'ADRETS au 206 avenue de versailles 75016 Paris.
Vous pouvez émettre votre virement grâce à ces informations bancaires : IBAN FR76 1820 6001 2812 8907 3900 121 / BIC AGRIFRPP 882 / Swift 882 AGRIFR. Merci de bien indiquer votre nom en référence du virement.
Association pour le Développement et la Recherche en Traumatologie du Sport. ADRETS est une association Loi 1901 à but non lucratif.

Les Tarifs

Bonne nouvelle : pas d'augmentation par rapport à la dernière journée.

  • 120 € pour les internes en activité et les étudiants (DU,DIU, Capacités pour l'année en cours) et sur justificatif

  • 220 € pour une inscription individuelle - dans les délais obligatoires -

  • 250 € pour les inscriptions sur place (dans la limite des places disposibles pour l'ensemble des prestations)


Les règlement des droits d'inscription incluent en plus de l'accès à la salle de conférence  :
- le livre (350 pages) contenant l'intégralité des conférences
- un déjeuner assis dans les salons de la Maison de la Chimie


AUCUNE INSCRIPTION par courrier postal ou courriel ne sera enregistrée après le 30 octobre 2022.

Les organisateurs

J Rodineau

J Rodineau

Co-organisateur

J-L. Brasseur

J-L. Brasseur

Co-organisateur

JB. Courroy

JB. Courroy

Co-organisateur

V. Vuillemin

V. Vuillemin

Co-organisateur

Partenaires

    • ARSYLAB
    • BSN RADIANTE ESSITY
    • CIZETA MEDICALI
    • DJO France
    • EMS FRANCE
    • ESAOTE MEDICAL
    • FIDIA PHARMA
    • GIBAUD OSSUR
    • IBSA
    • ISO ORTHO
    • LCA PHARMACEUTICAL
    • MEDIRENT
    • THUASNE
    • TILMAN
    • TRB CHEMEDICA
    • Editions ELSEVIER
    • Editions SAURAMPS
    • CANON MEDICAL
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Contact

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    ADRETS 204 avenue de versailles
    75016 Paris France.

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    +33 1 83 62 41 75 (Répondeur)

  • Mail Icon

    adrets@adrets.org

Préface

Préface

La médecine du sport est soumise aux mêmes règles de « bonne pratique » que toutes les autres spécialités, mais elle a des particularités qui font que ce thème n’est ni évident, ni facile à aborder ou même à définir. En effet, la médecine basée sur les preuves scientifiques (Evidence-Based Medicine) nécessite l’étude de cohortes suffisantes pour que les calculs statistiques soient valables et une randomisation difficile à faire accepter par les sportifs professionnels comme amateurs, chacun souhaitant le meilleur traitement qui lui permettra de reprendre son sport le plus vite possible et au même niveau. Les sportifs professionnels ont en plus des enjeux financiers et de carrière, totalement incompatibles avec des études scientifiques de bonne méthodologie. De plus, il faut tenir compte du fait que les contraintes du haut niveau sportif conduisent souvent l’organisme à des efforts supra-physiologiques plus proches d’une médecine expérimentale, où l’empirisme domine, que la médecine habituelle. Le sportif de haut niveau est soumis à des influences parfois néfastes, payant les pots cassés de traitements dits innovants et qui manquent forcément de recul ou de pertinence scientifique. Et le sportif amateur, rapidement informé de pratiques novatrices, va amplifier le phénomène jusqu’à ce que le temps et l’expérience condamnent ou valident un traitement.

Il faut reconnaitre que la médecine du sport a fait considérablement avancer nos connaissances dans la physiopathologie des lésions traumatiques et microtraumatiques par surutilisation des tendons, des muscles et des cartilages, apportant d’indéniables progrès dans la prévention et la prise en charge de ces lésions si fréquentes.

Cela ne doit pas nous empêcher d’essayer d’édicter des règles simples de bonne pratique grâce à l’expérience et à l’exigence des nombreux experts ayant contribué à ce livre.

Mais qu’est-ce qu’une bonne pratique en médecine du sport ? Celle que souhaitent nos financeurs pour une médecine moins coûteuse ? Celle de nos patients très impatients de reprendre leur activité et friands d’une imagerie sans savoir qu’elle peut être un leurre ? Celle du « primum non nocere » qu’il faut toujours garder à l’esprit ? Enfin, celle fondée sur les preuves scientifiques dont la pandémie actuelle a montré combien elle pouvait être remise en cause par des gourous et des manipulateurs profitant des peurs et des croyances de certains individus en manque de résilience.

En fait, la bonne pratique est ici dictée par le contraste entre l’essor formidable d’une imagerie toujours plus performante et le déclin d’une approche clinique qui devrait pourtant rester la base d’une indispensable corrélation clinique-imagerie, seule garante de ne pas traiter des images, mais bien une pathologie symptomatique. La clinique définit aussi souvent le bon moment pour la reprise de l’activité qui n’est possible que progressivement, et après une phase de réadaptation trop souvent négligée. Notre organisme a de fantastiques capacités de réparation et d’adaptation, encore faut-il ne pas les annihiler par des traitements inappropriés.

Depuis de nombreuses années, le Pr. Jacques Rodineau a œuvré pour que la Traumatologie du Sport ait des bases solides dans l’approche clinique et thérapeutique. Ce nouvel ouvrage va encore y contribuer, nous n’en doutons pas et nous l’en remercions chaleureusement !
Le Président du Congrès Hervé Bard

4ème de couverture

4ème de couverture

Ce livre regroupe les exposés de la 38ème journée de traumatologie du sport de la Pitié Salpêtrière. 
Le thème en sera : « Les bonnes pratiques en traumatologie du sport ».
Quatre chapitres concernent l’épaule : les deux premiers traitent de la primoluxation scapulohumérale : l’imagerie par Gabriel Corcos et la prise en charge par Gilles Daubinet. Anne-Sophie Billard nous apprend ensuite à ne pas passer à côté des « petites » fractures parfois ignorées et qui génèrent souvent des douleurs chroniques. Philippe Collin détaille l’une d’entre elles, celle du processus coracoïde et nous montre comment la traiter.
Au niveau du poignet et de la main, Mathilde Gras nous indique la conduite à tenir devant un traumatisme du poignet à radiographies initiales normales, Eric Roulot aborde un autre sujet intéressant en nous expliquant la prise en charge d’un « Jersey finger ».
On passe ensuite au membre inférieur avec deux chapitres importants ; Alexis Nogier nous parle de la conduite à tenir en cas de coxopathie chez un jeune sportif et Quentin Monzani montre comment ne pas méconnaitre une fracture de fatigue du bassin.
Quatre chapitres sont consacrés au genou. Deux au pivot central : le kyste infiltrant du ligament croisé antérieur par Jean-Baptiste Courroy et la prise en charge de la rupture du ligament croisé postérieur par Romain Rousseau. Philippe Thelen fait le bilan des lésions de la racine du ménisque médial, difficiles à détecter et Raphaël Coscas montre comment ne pas se faire piéger par l’artère poplitée !!
La cheville et le pied ne sont pas oubliés. Sylvie Besch et Roberto Purello d’Ambrosio font le bilan de la rupture du tendon calcanéen et son conflit avec la partie postéro-supérieure du calcanéus qui est abordé par Jean-Louis Brasseur. Michel Créma rappelle que l’entorse de la cheville n’est pas limitée à l’articulation talocrurale et qu’il ne faut pas oublier les autres lésions ligamentaires. Fabrice Thévenin détaille, dans le dernier chapitre, le problème de la surcharge du deuxième métatarsien chez le sportif.
Au total, une journée riche en enseignements pratiques qui devrait satisfaire tous les participants que nous espérons nombreux.

Le comité d’organisation.
J. Rodineau, J-L Brasseur, J-B Courroy, V. Vuillemin

© ADRETS entrainé par Evoir.